dimanche 28 septembre 2014

Réussir la dissertation de philosophie

Bien lire le sujet

Le piège d'un sujet de philosophie, c'est souvent son caractère anodin, presque trop simple : parfois, on pourrait presque vouloir répondre par oui ou par non. Il faut se méfier, car le premier objet de la dissertation de philosophie, ce n'est pas la réponse à la question posée, c'est la question elle-même. La première tâche, en lisant un sujet, c'est donc de voir tout ce qu'il a de complexité cachée, tous les problèmes qu'il recèle, et surtout pourquoi aucune réponse simple ne peut lui être apportée. Ainsi, Pau est-il au nord de Lille ? n'est (en principe) pas un sujet de philosophie, car on peut trouver la réponse en consultant une carte. La lecture du sujet, des différents termes, doit ainsi aboutir à une problématique : la problématique est une forme d'incertitude, de conflit entre deux thèses qui apparaissent également fondées, et qui pourtant ne sont pas compatibles. La meilleure image que l'on peut donner d'une problématique, c'est l'illusion d'optique : dans une illusion d'optique, on a à la fois une illusion (le bâton plongé dans l'eau a l'air brisé) et la conscience que c'est une illusion (quand on le sort de l'eau, on voit bien qu'il n'est pas brisé) : il faut arriver à comprendre comment le bâton peut avoir l'air brisé sans être brisé.
La première partie de nos fiches téléchargeables comporte toujours une analyse du sujet, qui vise à faire ressortir la problématique. Il n'y a bien sûr pas qu'une seule problématique possible.
Exemple (tiré de nos fiches téléchargeables) : "Que nous apprend l'histoire ?"

"Le problème de ce sujet sera de dépasser l'évidence selon laquelle « apprendre l'histoire » signifie assimiler les informations permettant de retracer le cours des évènements dans le temps. En effet, la question « que nous apprend l'histoire ? » semble indiquer que selon le sens de l'histoire que l'on privilégie, il se joue plus qu'une simple transmission d'informations, c'est-à-dire que l'histoire nous permet de raisonner et de former notre pensée critique pour interroger notre façon de percevoir et de comprendre le monde qui nous entoure..."

Le plan ? oui, mais après la problématique

La dissertation est un exercice de méthode et d'argumentation : le plan que vous allez choisir est donc capital car il doit témoigner de votre démarche de réflexion. Évitez cependant de commencer votre travail par chercher le plan, et de croire qu'il est achevé quand vous le tenez. Le plan doit en effet se déduire de la problématique : si elle vous manque, impossible de construire un plan efficace.
Nos fiches téléchargeables comportent toutes un plan (détaillé ou rédigé) qui correspond à l'analyse du sujet que nous proposons / le choix d'une problématique différente pourrait imposer un autre plan.
Traditionnellement, le plan se compose de trois parties. Thèse, antithèse, foutaise ? Si pour vous thèse-antithèse-synthèse, cela veut dire un plan oui/non/peut-être, en effet, vous risquez de rater votre dissertation. Le principe est plutôt de discuter dans chacune des deux premières parties une thèse en montrant à la fois sa force et ses limites ; la dernière partie doit apporter une synthèse, une réconciliation de ces points de vue également valables mais limités, en choisissant une perspective
Exemple de plan proposé par philofacile.com (tiré de nos fiches téléchargeables) : "Que nous apprend l'histoire?"

"1)
a.
Si l'histoire est une juxtaposition d'évènements, apprendre l'histoire signifie apprendre une chronologie d'évènements, c'est-à-dire savoir que ces événements ont eu lieu,
b.dans un certain ordre chronologique et linéaire
c. et entretiennent des rapports de causalité dans lesquels tous les évènements ont des degrés d'importance variables.

2) Mais cette réflexion sur la question de savoir comment définir des évènements importants conduit à montrer que l'histoire n'est jamais une pure donnée objective mais doit être interprétée et construite dans la masse des évènements. Cette remarque permet de montrer que l'histoire ne laisse pas aussi facilement comprendre comme une succession linéaire d'évènements.
a. Apprendre l'histoire nous apprend alors moins ce que nous avons été que ce que nous sommes, dans la mesure où l'ordre est toujours supposé. Nous sommes donc confrontés à une vérité historique relative,
b. qui nous oblige à critiquer nos propres méthodes de pensée
c. et nous conduit plus à supposer ce que nous avons été pour constater ce que nous sommes devenus..." 
 

Soignez l'introduction

L'introduction est le premier contact avec votre correcteur : s'il est raté, il risque bien de ne pas vous lire avec la même gentillesse ou tout simplement avec la même attention. Dans l'introduction, vous devez a) motiver le sujet (c'est-à-dire montrer en quoi il est nécessaire, urgent, capital de s'y plonger) et b) problématiser (c'est-à-dire transformer l'énoncé en un problème philosophique)...évitez donc d'en rester à un bavardage pré-philosophique, histoire de garder les bonnes idées pour le développement. Une introduction sans concept philosophique, sans problème, sans tentative de définition
 

  Évitezle recueil de citations

Beaucoup pensent qu'une bonne copie de philosophie, c'est une copie qui cite les bons auteurs. Certes, la philosophie est une discipline qui a ses champions, qu'on appelle sans originalité des philosophes. Les connaître, c'est s'appuyer sur leur réflexion pour éviter de tomber dans des banalités ou passer à côté d'une difficulté essentielle : mais ce n'est pas pouvoir citer une quinzaine de mots de chacun d'eux. La citation ne prouve jamais rien, or votre copie doit démontrer. Et la citation ne prouve pas non plus que l'on connaisse l'auteur. La seule chose que produit immanquablement une citation, c'est un voyant d'alerte chez le correcteur, qui lui signale qu'on est en train d'essayer de le séduire et de l'embobiner. Si la citation est mal utilisée, si la pensée évoquée n'est pas précisée, le seul résultat sera de l'irriter.

Voilà pourquoi nos fiches ne comportent pas de citations, mais des raisonnements : l'objet de la dissertation de philosophie est de penser un problème, et les citations ne sont ni nécessaires ni efficaces pour réussir.

Corrigé de l'excice N°2











Cliquez ici pour voir l'énoncer du sujet

Corrigé de l'exercice de Math N° 1






Cliquez ici pour voir l'énoncé du sujet

jeudi 25 septembre 2014

Un p'tit Quiz de vocabulaire

Le quizz est en train de charger depuis Quizity.com, le site pour créer un quiz, veuillez patienter...


mercredi 24 septembre 2014

Philosophons 2 La philosophie

Bonjour à toutes et à tous.
dans cette série de vidéo, vous aurez l'élément nécessaire pour comprendre ce qu'est la philosophie.
Il y a précisément 3 vidéos dans cette série qui vous permettra d'avoir une définition a priori de la philosophie.
 


Tu peux aussi lire le poème du vendredi passé  clique sur Poème : Je t’aime la poésie
Je t’invite à visiter mon blog de séduction pour savoir comment draguer au festival des grillades  clique sur :*  
Besoin d'une baladeuse ? Tu as surement déjà entendu parlé des espadrilles clique sur Espadrilles pour passer ta commande.

Exercice N°2 : Démonstration avec deux variables.

On note  Démonstration avec deux variables. et  Démonstration avec deux variables. deux réels .
1. Démontrer que pour tout  Démonstration avec deux variables. alors  Démonstration avec deux variables. .
2. Exprimer  Démonstration avec deux variables.  en fonction de  Démonstration avec deux variables. , si k = n .
3. Démontrer par récurrence que pour tout  Démonstration avec deux variables.  alors  Démonstration avec deux variables. .

lundi 22 septembre 2014

Les news du school

C'est la rentrée et nombreux sont les élèves qui sont retournés sur les bancs aujourd'hui.
Le sac bien remplir, le kaki repassé et fourré, sans oublier les paires de chaussure aux pieds. Le style idéal pour un beau gosse.

Bonne année scolaire et étudiez bien, car il n'y a que vous-même qui serez les plus heureux lorsque vous aurez de bon résultats.
 Cliquez ici pour écouter Confession et Conseils en ligne !

dimanche 21 septembre 2014

Les repères philosophique

 Absolu - Relatif
Absolu : ce qui ne dépend de rien d’extérieur à soi, qui ne dépend que de soi - renvoie à une indépendance, à une autosuffisance
Relatif : ce qui est en relation avec quelque chose d’autre, qui dépend de conditions extérieures à soi mêmes

Abstrait - Concret

Abstrait : ce qui est loin du concret, immatériel - n‘a pas de valeur en soi (ex : les idées)
Concret : ce qui est à portée de main, solide, qui renvoie à une réalité matérielle

En acte - En puissance

En acte : ce qui est actuellement, effectif à l’instant
En puissance : ce qui est potentiellement, virtuellement , ce qui tend à être

Analyse - Synthèse
Analyse : décomposer, mettre en morceaux
Synthèse : recomposer, mettre ensemble, rassembler

Cause - Fin
Cause : ce qui produit un phénomène, « à cause » de quoi cela est produit
Fin : ce en vue de quoi la chose est produite, son but, ce qu’elle vise

Contingent - Nécessaire
Contingent : ce qui peut ne pas être
Nécessaire : ce qui ne peut pas ne pas être

Croire - Savoir
Croire : avoir une représentation hypothétique du monde
Savoir : avoir une représentation vraie du monde, en sachant pourquoi elle est vraie

Essentiel - Accidentel
Essentiel : ce qui appartient à l’essence d’une chose, ce qui lui est nécessairement lié, ce qui appartient à sa définition, ce sans quoi la chose ne serait pas ce qu’elle est
Accidentel : ce qui appartient à une chose de manière contingente, qu’elle peut ne pas avoir tout en restant elle-même

Expliquer - Comprendre
Expliquer
: rendre possible la compréhension de quelque chose
Comprendre : avoir une représentation claire du phénomène, possible par l’explication

En fait - En droit
En fait : ce qui est effectif actuellement
En droit : ce qui doit être, mais qui n’est pas nécessairement ou ne sera peut-être jamais

Formel - Matériel
Formel : c’est le cadre
Matériel : c’est le contenu, ce qui l’on met dans le cadre

Genre - Espèce - Individu
Genre : groupe général auquel appartient un individu
Espèce : sous-groupe, plus précis, permettant de resserrer la définition de cet individu
Individu : être qui est défini par ces deux termes

Idéal - Réel
Idéal : idée la plus parfaite que l’on se fait de quelque chose
Réel : ce qui existe dans les faits

Identité - Egalité - Différence
Identité : être identique : le fait d’être le même d’un point de vue qualitatif
Egalité : être égal : le fait d’être le même d’un point de vue quantitatif
Différence : différence quantitative ou qualitative

Intuitif - Discursif
Intuitif : mode d’appréhension directe du réel qui ne passe pas par le langage
Discursif : mode d’appréhension qui passe par le discours, donc par le langage et la raison

Légal - Légitime
Légal : ce qui est conforme à la loi
Légitime :  ce qui est conforme à la justice, ce qui est reconnu comme devant être suivi

Médiat - Immédiat
Médiat : qui passe par quelque chose d’autre, par des moyens, pour atteindre son but
Immédiat : qui ne passe pas par des moyens, qui atteint son but directement

Objetif - Subjectif
Objectif : ce qui correspond à l’objet -> impartial, extérieur, indépendant des préférences du sujet
Subjectif : ce qui correspond au sujet -> partial, intérieur à soi, exprimant des préférences

Obligation - Contrainte
Obligation : ce qui nous pousse à agir en vue d’une nécessité extérieure, subjective, qui fait reconnaître un droit d’agir de cette manière-là.
Contrainte : ce qui nous pousse à agir contre notre volonté

Origine - Fondement
Origine : point de départ chronologique d’un processus
Fondement : point de départ logique

Persuader - Convaincre
Persuader : emporter l’adhésion de l’auditeur en faisant appel à ses émotions et à son imagination, sans que la chose soit forcément vraie
Convaincre : emporter l’adhésion grâce à des arguments rationnels, faire reconnaître la vérité de quelque chose par quelqu’un

Ressemblance - Analogie
Ressemblance : quand deux ou plusieurs choses ont une ou des propriétés communes qui leur donne des aspects semblables
Analogie : quand les choses ont une structure commune

Principe - Conséquence
Principe : point de départ d’une action, d’un raisonnement, d’un processus
Conséquence : ce qui découle de ce point de départ

En théorie - En pratique
En théorie : discours sur le monde -> explique le fonctionnement de l’un de ses aspects (relations de cause à effet des différents phénomènes)
En pratique : application de la théorie au réel, suppose parfois des écarts

Transcendant - Immanent
Transcendant : extérieur à la dimension humaine, au monde ; au-delà
Immanent : intérieur, au-dedans : appartient à la sphère humaine

Universel - Général - Particulier - Singulier
Universel : s’applique à tous les êtres sans exception
Général : s’applique à tous les êtres d’un groupe, admettant des exceptions
Particulier : ce à quoi s’applique le cas général
Singulier : ce à quoi aucun cas général ne peut s’appliquer

Exercice N° 1 : Nombres complexe

20101124page 4 Bac et nombres complexes
Salut à tous et à toutes cliquez ici pour voir le corrigé du sujet

Du nouveau pour Confession et Conseil

Salut les gars, Confession et Conseil est en mode radio online cliquez ici pour l'écouter

samedi 20 septembre 2014

L'allégorie de la caverne


Les figures de style

  Salut à toutes et à tous, je suis Jean Luc Doh, l'un des administrateurs. En fait ceci est mon premier article sur ce blog, vue qu'il ne m'appartient pas. Dans cet article, je veux vous parler des fameux "figures de style", parce qu'ils sont mal aimés sous prétexte que "c'est trop difficile", mais "difficile" n'est pas le mot convenable. Moi je dirait: "complexe". 
 Pour commencer les figures de style, très souvent utilisées dans le langage courant, rendent l’énoncé d’un texte plus expressif et plus vivant : le destinataire appréhende et imagine mieux ce que veut dire l’émetteur.
 


LES FIGURES DE L’ANALOGIE

Ces figures créent des images en rapprochant deux univers différents.

* La comparaison établit un parallèle entre un premier terme (le comparé) et un deuxième terme (le comparant) par l’intermédiaire d’un outil grammatical qui peut être un verbe (ressembler à, avoir l’air, sembler, on eût dit), un adjectif (semblable, pareil à), un adverbe ou locution adverbiale (comme, ainsi que, de même que, plus que)… Le comparé et le comparant possèdent au moins une caractéristique commune qui justifie la comparaison.
Ex. Tu es belle comme le jour.


* La métaphore, comme la comparaison, unit un comparant et un comparé, mais sans outil de comparaison. Un mot est utilisé pour parler d’une réalité qu’il ne désigne pas habituellement. Il faut donc rechercher les raisons du rapprochement.
 Ex. L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature.


* La personnification consiste à prêter des comportements ou des sentiments humains à un objet, à un être inanimé ou à un animal.
 Ex. Ce souvenir dormait dans un coin de ma mémoire / Le cadavre d’un amour.

* L’allégorie est une personnification à laquelle on ajoute une valeur symbolique. Elle rend concrète une chose abstraite.
 Ex. La mort est représentée par une faucheuse.


LES FIGURES DE SUBSTITUTION

Ici, on remplace un mot par un autre mot ou une expression inattendue.

* La métonymie désigne un élément par un terme entretenant avec cet élément une relation logique, comme le contenant pour le contenu, la cause pour l’effet, la marque pour l’objet…
Ex. Aimer la bouteille (pour « aimer le vin »), Vivre de son travail (pour « vivre de l’argent qu’on gagne en travaillant »). 


* La synecdoque, variété de métonymie, désigne, pour parler d’un être ou d’un objet, une partie de celui-ci, ou au contraire, prend le tout pour la partie.
Ex. Un bronze (pour « une statue de bronze »), une voile (pour « un navire »)

* La périphrase remplace un terme par une expression plus développée qui le définit.
 Ex. La capitale de la France (pour « Paris »)

* L’antiphrase dit, souvent par ironie, le contraire de ce qui est explicitement dit.
 Ex. Quelle belle journée ! (alors qu’il pleut)

* L’antonomase consiste à transformer un nom propre en nom commun. 
 Ex. Un Harpagon (pour « un avare »), un Don Juan (pour « un séducteur »).


LES FIGURES D’INSISTANCE

Ces figures permettent la répétition et mettent en évidence une idée obsessionnelle dont elles
renforcent l’intensité.

* Le parallélisme utilise une même construction pour deux énoncés, de façon à mettre en évidence une similitude ou une opposition.
Ex.             Partir pour tout laisser
                  Quitter pour tout abandonner
                  Revenir pour tout recommencer (infinitif + pour tout)

* L’anaphore est la répétition d’un mot ou d’une phrase en début de phrase, de proposition ou de vers.
 Ex: Marcher à jeun, marcher vaincu, marcher malade.

* La gradation compose une succession de mots de sens proche, classés dans un ordre croissant d’intensité.
 Ex: Va, cours, vole, et nous venge.


LES FIGURES D’OPPOSITION

Elles permettent de mettre en évidence ce qu’il y a d’opposé ou de contradictoire entre deux situations.

* L’antithèse souligne une opposition forte entre deux termes dans une phrase.
 Ex. Certains aiment la nuit comme d'autres vénèrent le jour


* L’oxymore est la réunion, dans une même expression, de deux termes contradictoires.
 Ex. Cette obscure clarté qui tombe des étoiles / Un mort-vivant
 

* Le chiasme croise des termes mis en opposition ou en parallèle, et renforce l’idée ainsi exprimée. 
Ex. La neige (1) fait au nord  (2) ce qu'au sud (2) fait le sable (1)
Ex. Il faut manger (1) pour vivre (2) et non pas vivre (2) pour manger (1)


LES FIGURES D’AMPLIFICATION OU D’ATTÉNUATION

L’amplification exprime l’exagération, alors que l’atténuation minimise la réalité.

* L’hyperbole emploie des termes exagérés.
 Ex. Briller de mille feux / mourir de soif / avoir trois tonnes de travail…
 

* La litote consiste à dire le moins pour suggérer le plus. On feint d’atténuer une vérité que l’on affirme implicitement avec force. Le verbe est généralement à la forme négative.
 Ex. Au piano, elle n'est pas très douée…(pour « elle est mauvaise »)
Ex. Ce garçon-là n’est pas sot (pour « il est intelligent »)
 

* L’euphémisme établit une atténuation, atténue la réalité pour ne pas choquer. On l’utilise le plus souvent pour évoquer des tabous : besoins naturels, maladie, sexe, mort…
 Ex. Elle a vécu / (pour « elle est morte »)
 Ex. Je répandis la terre du sommeil sur son corps (pour « je l’ai enterrée »)

Le Français

Le Français

La langue de molière est  la plus belle et la plus facile à retenir. Bien vrai que nous nous laissons souvent planter par des fautes d'orthographes,de grammaires de conjugaison et souvent même de vocabulaires. Cette rubrique nous aidera donc à nous corriger et à combler certaine lacune. 
Nous vous proposerons donc des conseils,des sujets et aussi des vidéos pour mieux atteindre  notre objectif.Merci et à très bientôt.  

Tu peux aussi lire le poème du vendredi passé  clique sur Poème : Je t’aime la poésie
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